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Mes travaux de recherches s’inscrivent dans le champ de la philosophie de la perception, la phénoménologie, les sciences et technologies cognitives (théorie de l’enaction, courant 4E) et les Computer sciences. Ils se déploient suivant deux axes thématiques principaux :

  • Le premier porte sur les mécanismes de la perception et de la connaissance, que j’aborde depuis une perspective phénoménologique, en discussion avec les entreprises de naturalisation de la cognition en sciences cognitives (en particulier dans les paradigmes enactifs et 4E). Mes travaux portent essentiellement sur l’expérience des corps et de l’espace, le caractère incarné (embodied) de la perception, la cognition motrice et les mécanismes d’anticipation du possible (perception des affordances). Leur originalité consiste à combiner les méthodes d’analyse de l’expérience issues des traditions phénoménologique et de la philosophie de l’esprit anglo-saxonne avec des recherches empiriques en psychologie et neurosciences cognitives. Ma démarche générale consiste à revenir – à partir la tradition phénoménologique – à la compréhension préscientifique et pour ainsi dire naïve que nous avons de notre environnement, pour mettre au jour les mécanismes et conditions qui sous-tendent l’apparition des choses dans l’expérience ordinaire. Ce faisant, je m’oppose, d’une part, au parti-pris objectiviste et réaliste dominant en psychologie et dans les neurosciences, qui assume d’entrée de jeu la préexistence des corps et de l’espace, et s’appuie sur ce donné pour expliquer le format du monde perçu ; et d’autre part, à la métaphysique de l’information, qui prétend réduire la réalité perçue au résultat d’un traitement informationnel.
  • Le second axe de recherche porte sur le projet scientifique et ingénierique de formalisation des connaissances dans le champ de l’Intelligence Artificielle et de l’Ingénierie des Connaissances, qui se matérialise notamment dans la conception d’ontologies computationnelles destinées à automatiser les activités de traitement d’information. Mes travaux visent à interroger sur un plan épistémologique et philosophique la démarche de formalisation des connaissances (en partant du secteur biomédical, qui est particulièrement actif et porteur d’importants enjeux sociétaux), et sur un plan plus opérationnel proposent d’exploiter les modèles et paradigmes développés en sciences cognitives pour la conception de systèmes de traitement de données. J’ai ainsi travaillé au développement d’une méthode originale et d’un nouveau cadre épistémologique pour la conception des ontologies computationnelles, que j’ai qualifié d’instrumentaliste (qui s’oppose aux deux approches dominantes dans le champ : le réalisme et le conceptualisme) et qui consiste à aborder la démarche de conception des ontologies dans la perspective de l’augmentation cognitive et de l’instrumentation des pratiques.

Ces différents travaux, qu’il s’agisse du premier axe ou du second, sont chaque fois marqués par un rapport structurant à la technique, que j’aborde de différentes perspectives et à différents niveaux de granularité, soit à travers l’analyse et la conception de dispositifs technologiques, soit, plus généralement, comme objet d’enquête philosophique (thèse de la technique comme anthropologiquement constitutive et étude des technologies cognitives). Une partie de mes travaux de recherche présentent également une dimension appliquée et expérimentale et portent pour l’essentiel sur la conception et l’étude de systèmes informatiques pour le handicap et la e‑Santé : interfaces pour le handicap perceptif, systèmes de substitution sensorielle (travaux de doctorat) ; systèmes d’information pour la pharmacovigilance et la gestion de données biomédicales (travaux de post-doctorat).

Depuis 2021, je suis par ailleurs engagé dans un travail de réflexion sur les discours et projections d’avenir dans le contexte de crise climatique et environnementale, travail qui a donné lieu au dépôt d’une proposition de projet sur un financement de la région Hauts-de-France. Le projet, intitulé FUTUR (La construction des FUTurs à l’heure de l’URgence climatique et environnementale) se propose, à partir d’une approche pluridisciplinaire associant philosophie, prospective, et sciences et technologies cognitives, de discuter les projections et représentations d’avenir de certains discours catastrophistes contemporains (en particulier la collapsologie et le catastrophisme éclairé de Jean-Pierre Dupuy), notamment en interrogeant le rôle des technologies (simulations et modèles) dans l’élaboration de ces scénarios d’avenir. Je codirige également une thèse consacrée à ces questions.


Depuis mon recrutement en tant que MCF à l’Université de Technologie de Compiègne en septembre 2014, j’ai la responsabilité de plusieurs unités d’enseignement (UE) au sein du département TSH « Technologie et Sciences de l’homme ». J’enseigne principalement la philosophie et les sciences cognitives à des étudiants ingénieurs, de la première à la cinquième année, des étudiants de Master (M1 ou M2 : Master UxD « User Experience Design ») et en thèse de doctorat, et des étudiants du cursus HuTech « Humanités et Technologie ». J’assure aussi bien les CM (cours magistraux) que les TD (travaux dirigés, approche par projets), où je forme les étudiants à la méthodologie de la recherche en les accompagnant dans la réalisation d’un travail d’investigation empirique (enquête de philosophie de terrain, expérience de psychologie). Les étudiants sont évalués sur la base du travail d’enquête, sur la base d’exposés (d’articles scientifiques) qu’ils doivent réaliser, et à travers des examens sur table de type contrôle des connaissances.

Je suis responsable depuis 2014 de l’U.E. PH11 : Théories de la connaissance. Du paradoxe de Ménon aux sciences cognitives (3h hebdomadaires 1h CM / 2h TD) qui propose une introduction aux grandes théories de la connaissance, de l’Antiquité aux sciences cognitives et à l’épistémologie analytique contemporaine. L’UV a un contenu essentiellement philosophique, mais convoque des ressources issues d’autres champs disciplinaires, notamment la psychologie, l’Intelligence Artificielle, la linguistique, les neurosciences. Le programme est structuré autour des trois grandes questions traditionnellement traitées par l’épistémologie : Qu’est-ce que la connaissance ? La connaissance est-elle possible ? Quel est l’origine et quels sont les mécanismes qui nous permettent de développer des connaissances ? L’UV s’efforce d’aborder ces questions (ou de les mettre en regard) à partir de cas d’étude et d’enjeux contemporains, tels que la question de l’automatisation de la cognition, les discours sur l’avenir dans le contexte de la crise écologique ou les méthodes de production de l’ignorance (ex. campagnes de désinformation, lobbying climatosceptique). L’UV propose également (en TD) une formation à la méthodologie de la recherche en SHS en proposant aux étudiant(e)s de monter sur toute la durée du semestre une enquête de philosophie de terrain. Les étudiant(e)s sont accompagnés sur toutes les étapes de l’enquête depuis la réalisation d’une synthèse de l’existant (état de l’art) et la formulation des hypothèses jusqu’à la mise en place du protocole, l’analyse (notamment statistique) et l’interprétation des résultats. La formation vise également à développer les compétences rédactionnelles : les étudiant(e)s sont accompagnés dans la rédaction de leur rapport d’enquête qui est construit sur le format d’un article de recherche.

Je suis responsable depuis 2014 de l’U.E. SC24 : Apprentissage et perception (3h hebdomadaires 1h CM / 2h TD). L’UE propose un panorama des grandes théories de l’apprentissage et de la perception qui ont été développées en psychologie depuis le Behaviorisme et la psychologie de la Forme (Gestalt) jusqu’à la psychologie et aux neurosciences cognitives contemporaines, et introduit aux principaux concepts et paradigmes qui ont été développés pour étudier, décrire, analyser et expliquer les processus d’apprentissage et de perception chez l’humain et l’animal. L’apprentissage est abordé comme un processus d’acquisition de compétences et connaissances qui prend de multiples formes (habituation, renforcement, association, apprentissage par observation, diffusion culturelle, etc.) et implique des mécanismes variés pouvant être étudiés à de multiples niveaux (comportementaux, cognitifs, sociaux, neurologiques). Le programme se concentre sur l’apprentissage des capacités perceptives. Dans le cadre des TDs, la réalisation d’une expérience vise à familiariser les étudiants avec la méthodologie expérimentale telle qu’elle est pratiquée en psychologie. Toutes les étapes sont abordées depuis la réalisation d’un état de l’art et la formulation des hypothèses jusque la mise en place du protocole, l’analyse et l’interprétation des résultats. Un objectif transversal de formation est d’appendre aux étudiants à analyser de façon critique un protocole expérimental ou des affirmations revendiquant un étayage ou une confirmation par des faits empiriques.


De septembre 2018 à août 2022, j’ai assuré les fonctions de directeur du groupe de recherche CRED (Cognitive Research and Enactive Design), une des trois équipes de l’unité de recherche COSTECH. Les travaux menés au sein du CRED s’organisent, depuis sa création en 1998, autour de l’idée de recherche technologique et associent sciences humaines, design et réflexion philosophique. Le travail de direction comporte une dimension d’animation de la recherche (organisation d’une réunion hebdomadaire de 3h le lundi matin, organisation d’ateliers de travail, coordination du travail collectif et articulation des recherches des différents membres, assignation des tâches et responsabilités au sein du groupe, représentation de l’équipe à l’extérieur, gestion de la visibilité de l’équipe, site  web, etc.), aussi bien qu’une dimension proprement administrative (gestion des budgets, recrutement, travail de médiation interpersonnelle, etc.) et de gestion humaine.

J’ai été responsable pédagogique de septembre 2014 à février 2023 du domaine d’enseignement « Concevoir » du département TSH. La vocation des enseignements du domaine « Concevoir » (environ 25 UEs, réparties entre les rubriques « Démarches & pratiques » et « Connaissances ») est de permettre à l’étudiant ingénieur d’appréhender, dans sa multidimensionnalité et sa complexité, le contexte sociotechnique et humain dans lequel s’inscrit un processus de conception, et de maitriser des méthodologies intégrant cette approche socio-technique de la conception. La principale mission du responsable du domaine Concevoir est de s’assurer du bon fonctionnement de ces UEs, sur un plan aussi bien pédagogique qu’administratif, et de veiller au renouvellement et à l’adéquation de l’offre de formation avec les objectifs pédagogiques du bureau TSH et les enjeux sociétaux associés au métier de l’ingénieur.

Depuis septembre 2015, j’ai la coresponsabilité du mineur PHITECO (Philosophie Technologie Cognition). Le mineur PHITECO propose des éléments scientifiques, philosophiques et pratiques pour comprendre la manière dont les technologies transforment nos activités cognitives. Il introduit l’étudiant-ingénieur aux grands enjeux théoriques et pratiques des sciences cognitives en insistant sur l’importance des enjeux technologiques. Ces dimensions et enjeux, le mineur les pense  en  continuité avec  les dernières recherches expérimentales menées en psychologie, réalité virtuelle, intelligence artificielle et neurosciences, les dernières innovations en IHM, ergonomie, robotique, organes artificiel, etc., mais aussi en rapport avec la philosophie. La principale mission du responsable de mineur est d’animer et faire évoluer le contenu du projet pédagogique du mineur (UVs, séminaire, ateliers, etc.), d’assurer la gestion administrative et le suivi des étudiants, la coordination avec les enseignants impliqués dans le mineur et les responsables pédagogiques.

Depuis 2014, je dirige ou codirige plusieurs ateliers de travail à vocation interdisciplinaire, en particulier : l’Atelier Psy que je coordonne et anime avec le psychiatre Alain Gillis (spécialiste de l’autisme infantile), un atelier de travail mensuel dédié aux croisements entre philosophie et psychiatrie et qui vise à confronter des descriptions phénoménologiques et théories du psychique, au sens large, à des éléments d’ordre empirique issus du champ psychiatrique (troubles, cas, témoignages) ; l’Atelier mensuel de lecture de textes philosophiques, un atelier de travail dédié à l’étude collective de textes de référence de la tradition philosophique. Ces ateliers, qui réunissent des chercheurs et étudiants issus de disciplines diverses, sont un lieu fécond pour croiser des perspectives disciplinaires, préoccupations et champs d’expertise variés autours de questions communes.


Mon parcours de recherche est marqué par la pluridisciplinarité. Après avoir obtenu un diplôme d’ingénieur en Informatique à l’Université de Technologie de Compiègne en 2002, et un Diplôme d’Études Approfondies en Sciences de l’Homme et Technologies de la Cognition en 2004, je me suis engagé dans une thèse de doctorat articulant la philosophie, l’épistémologie et les sciences cognitives, que j’ai soutenue en 2010. J’ai occupé un poste d’Attaché Temporaire d’Enseignement et de Recherche de 2008 à 2010. En 2011, je me suis fait qualifier dans les sections Épistémologie, histoire des sciences et des techniques (72) et Philosophie (17) du Conseil National des Universités. Et j’ai occupé un poste de chercheur post-doctorant dans l’unité mixte INSERM UMRS 1142 (LIMICS) spécialisée en Ingénierie des Connaissances pour la santé d’octobre 2010 à août 2014.

Depuis septembre 2014, j’occupe un poste de Maître de Conférences à l’Université de Technologie de Compiègne (UTC) au sein de l’équipe de recherche CRED (unité de recherche COSTECH), spécialisée dans les sciences cognitive et la philosophie des techniques, dont j’ai assuré la direction pendant quatre ans (de septembre 2018 à août 2022). En sus de mes enseignements, qui s’inscrivent dans le champ philosophique et épistémologique, j’ai assumé sur cette période différentes responsabilités pédagogiques, notamment la responsabilité (de septembre 2014 à février 2023) du domaine d’enseignement Concevoir au sein du département TSH « Technologie et Sciences Humaines », qui regroupe les unités d’enseignements de philosophie, épistémologie, sciences et technologies cognitives, ainsi que la coresponsabilité (de septembre 2015 à aujourd’hui) du mineur PHITECO « Philosophie Technologie Cognition », un parcours d’enseignement en SHS qui propose des éléments scientifiques, philosophiques et méthodologiques pour comprendre la manière dont les technologies transforment nos activités cognitives. J’ai également codirigé sur cette période deux thèses de doctorat (dont une est encore en cours), qui croisent philosophie, enquête empirique et réflexion sur la technique (dispositifs de réalité virtuelle, utilisation de modèles pour construire des scénarios d’avenir), et vais très prochainement être engagé dans la codirection d’une troisième.

Finalement, j’ai participé au cours de mes années de post-doctorat et de ma carrière de chercheur à plusieurs projets de recherche d’échelle nationale ou européenne, où j’ai exercé différentes fonctions et assumé différentes responsabilités, depuis celle de consultant à celle de responsable d’axe et de WorkPackage, notamment, pour nommer les plus importants : le projet européen SALUS, dédié au développement d’une plateforme d’interopérabilité sémantique pour la recherche en pharmacovigilance, où j’ai exercé la fonction de responsable scientifique et technique (équipe INSERM UMRS 1142 / LIMICS) ; le projet européen PROTECT, axé sur le développement de méthodes et outils de raisonnement automatique pour la détection d’effets indésirables liés aux médicaments, où j’étais responsable d’un WorkPackage sur le développement d’une ontologie de la pharmacovigilance et coordinateur scientifique de l’équipe de recherche ; le projet national LERUDI, visant à développer une ontologie des urgences médicales pour un système d’indexation automatique de dossiers patients dans un service d’urgences, où j’ai travaillé sur la formalisation des connaissances médicales en collaboration avec des médecins urgentistes du CHU des Compiègne ; le projet TTH, portant sur les greffes de visage et les traces numériques, où j’étais coresponsable scientifique et correspondant administratif ; le projet SPACEI, dédié au développement de dispositifs de suppléance perceptive pour l’attention conjointe dans les espaces d’interaction numériques, auquel j’ai contribué par mon expertise en philosophie et en matière de perception prothétisée.


Mes publications et communications relèvent de trois champs disciplinaires : (1) la philosophie : principalement la philosophie de la perception, la phénoménologie et la philosophie des sciences cognitives ; (2) la psychologie expérimentale et les technologies cognitives ; (3) l’ingénierie ontologique et l’Intelligence Artificielle. A ce jour, j’ai publié un ouvrage, 4 chapitres d’ouvrage, 33 articles dans des revues nationales ou internationales à comité de lecture, 21 articles dans des actes de colloques et conférences. La plupart de mes publications sont disponibles sur ma page Academia et ResearchGate :

Parmi les publications les plus significatives, je peux mentionner :

  • Declerck G. (2014). Résistance et tangibilité. Essai sur l’origine phénoménologique des corps. Les Éditions du Cercle Herméneutique, Collection Phéno (dir. G. Charbonneau). ISBN : 978–2‑917957–27‑1.
  • Declerck G. (2022). Être en vie, avoir une vie. Note pour une clarification narrative du concept de vie en biologie. Dialogue posthume avec John Stewart. In C. Lenay (éd), Intellectica, vol. 76, Dossier « John Stewart : Hommage/Héritage/Débat », 57–69.
  • Declerck G. (2021). Heidegger’s equipment vs. Gibson’s affordances. Why they differ and how they articulate. Studia UBB Philosophia, vol. 66(2) supplement, 33–54.
  • Declerck G. (2020). Transcendental conditions of human technology. A Heideggerian proposal. Límite. Interdisciplinary Journal of Philosophy and Psychology, L. Lobo-Navas & M. Heras-Escribano (Eds), Special Issue “Cognition and Technology: A 4E Perspective”.
  • Garibaldi G., Declerck G., Lenay, C. (2020). Téléprésence, conscience d’image, « temps réel ». Analyse intentionnelle de la présence médiée.  Études Phénoménologiques / Phenomenological Studies, vol. 4, 145–172.
  • Declerck G. (2019). Pouvoir-être et projection de possibilités chez Heidegger. Sur la nature et le statut modal des possibilités du Dasein. Revue Philosophique de Louvain, 117(1), 113–153.
  • Declerck G. (2019). Do we need others to perceive objects? Études Phénoménologiques / Phenomenological Studies, vol. 3, 191–220.
  • Garibaldi G., Declerck G., Lenay C., Aubert D. (2018). Médiations techniques et sentiment de présence : Effets des délais temporels sur le croisement perceptif. Interfaces numériques, vol. 7, E.A. Amato & E. Perény (Eds), « Formes et dynamiques d’attention, de présence et d’engagements ».
  • Declerck G. (2018). Absent aspects, possible perceptions and open intersubjectivity: a critical analysis of Dan Zahavi’s account of horizontal intentionality. Journal of the British Society for Phenomenology, vol. 49(4), 321–341.
  • Declerck G. (2017). What could have been done (but wasn’t). On the counterfactual status of action in Alva Noë’s theory of perception. Phenomenology and the Cognitive Sciences, 16(5), 765–784.
  • Declerck, G. (2015). How we remember what we can do. Socioaffective Neuroscience & Psychology, 5. Special issue: Memory and action, M. Hainselin (Ed).
  • Declerck, G. (2014). Des conséquences parfois pénibles de prendre de la place. In M. Diaconu & I. Copoeru (éds), Studia Phaenomenologica, vol. XIV, « Place, Environment, Atmosphere », 73–99.
  • Declerck, G., Baneyx, A., Aimé, X., Charlet, J. (2014). Les ontologies fondationnelles peuvent-elles débabeliser le Web ? In A. Mille, S. Szulman, R. Troncy (éds), Revue d’Intelligence Artificielle (RIA), vol. 28 (2/3), numéro spécial « Ingénierie des Connaissances : nouvelles évolutions », 191–216.
  • Declerck, G. & Aimé, X. (2014). Reasons (not) to Spend a Few Billions More on EHRs: How Human Factors Research Can Help. IMIA Yearbook of Medical Informatics, vol. 9, « Big Data — Smart Health Strategies », Synopsis of Section 2: Human Factors and Organizational Issues, 90–96.
  • Monnin, A., Declerck, G. (2014). Philosophie du Web et Ingénierie des Connaissances. In A. Monnin & G. Declerck (éds), Intellectica, vol. 61, Dossier « Philosophie du Web et Ingénierie des Connaissances », 7–40.
  • Declerck, G., Charlet, J. (2014). Pourquoi notre sémantique naïve n’est pas formalisable et pourquoi c’est (presque) sans conséquence sur l’ingénierie ontologique. In A. Monnin & G. Declerck (éds), Intellectica, vol. 61, Dossier « Philosophie du Web et Ingénierie des Connaissances », 143–188.
  • Bousquet, C., Sadou, S., Souvignet, J., Jaulent, M.C., Declerck, G. (2014). Formalizing MedDRA to support semantic reasoning on adverse drug reaction. Journal of Biomedical Informatics, vol. 49, 282–291. doi:10.1016/j.jbi.2014.03.012.
  • Declerck, G. (2013). Why motor simulation cannot explain affordance perception. In A.G. Di Nuovo, V.M. De La Cruz, D. Marocco (éds), Adaptive Behavior Journal, vol. 21(4), 286–298, special issue “Artificial Mental Imagery in Cognitive Systems and Robotics”.
  • Declerck, G. (2013). Le possible peut-il être perçu ? In L. Jeanpierre, F. Nicodème, P. Saint-Germier (éds), Tracés, n°24, « Réalité(s) du possible en sciences humaines et sociales », ENS Éditions.
  • Declerck, G. & Aimé, X. (2013). Why medical informatics (still) needs cognitive and social sciences. IMIA Yearbook of Medical Informatics, vol. 8, « Evidence-based Health Informatics », Synopsis of Section 2: Human Factors and Organizational Issues, 86–92.
  • Declerck, G. (2012). Incarnation, motricité et rapport au possible. In E.A. Behnke & C. Ciocan (éds), Studia Phaenomenologica, vol. XII, “Possibilities of embodiment”, Romanian Society for Phenomenology & Humanitas, 35–60.
  • Declerck, G. (2011). L’insoutenable pesanteur de l’être. Pesanteur physique et pesanteur ontologique dans la pensée de Heidegger. Revue philosophique de Louvain, vol. 109, n°3, 489–525.
  • Declerck, G. (2011). Physique de l’espace et phénoménologie de l’espace. In C. Bouriau, C. Dufour & P. Lombard (éds), Philosophia Scientae, vol.15, n°3, numéro spécial « L’espace et le temps. Approches en philosophie, mathématiques et physique », 197–219.
  • Declerck, G., Charlet, J. (2011). Intelligence Artificielle, ontologies et connaissances en médecine. Les limites de la mécanisation de la pensée. Revue d’Intelligence Artificielle (RIA), vol. 25, n°4, numéro spécial « Intelligence artificielle et santé », 445–472.

Gunnar Declerck

Statut

Membres permanents

Équipe

CRED

Discipline

Sciences cognitives, Psychologie expérimentale, Philosophie, Épistémologie

Domaine de recherche

philosophie de la perception, phénoménologie, sciences et technologies cognitives, théories enactives / sensorimotrices / écologique de la perception, substitution sensorielle, ontologies

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