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La recherche que je mène s’inscrit sous l’égide de l’ingénierie des connaissances, en adoptant une double approche :

  • une approche technique et scientifique,
  • une approche philosophique et sémiotique.

Qu’est-ce que l’ingénierie des connaissances ?

L’ingénierie des connaissances ne porte pas directement sur les connaissances, car ces dernières ne sont pas des objets matériels sur lesquels effectuer des manipulations et transformations. L’IC porte sur l’inscription matérielle des connaissances, en se fondant sur le fait que :

  • toute connaissance est l’interprétation d’une inscription qui en est l’expression
  • toute inscription est matérielle et soumise à ce titre à une physique et peut faire l’objet d’une ingénierie.

L’IC ne porte pas sur toutes les inscriptions de connaissances, mais celles qui adoptent le support numérique comme substrat d’inscription. Le numérique confère une cohérence et une unité à l’ingénierie des connaissances :

  • le support numérique est universel, et tout contenu peut s’inscrire sur un tel support ;
  • le support numérique est homogène au sens où les contenus inscrits peuvent être soumis à un même système technique.

L’Ingénierie des connaissances sera donc l’ingénierie des inscriptions numériques de connaissances. Elle élabore des outils, méthodes et dispositifs mobilisant les inscriptions numériques pour assister le travail de la pensée et l’exercice de l’esprit.

Les principales déclinaisons de l’ingénierie des connaissances

D’un point de vue philosophique, l’ingénierie des connaissances repose sur l’articulation entre les supports d’inscription et les connaissances qui sont ainsi inscrites. La question est en effet de comprendre en quoi une inscription peut constituer et transmettre une connaissance. C’est donc une théorie de la connaissance qu’il faut élaborer : pour notre part, nous avons proposé la théorie du support.

D’un point de vue technique, l’ingénierie des connaissances comprend deux modalités essentielles :

  • l’ingénierie des représentations formelles de connaissances ;
  • l’ingénierie des inscriptions documentaires de connaissances ;

Les inscriptions formelles correspondent aux représentations logiques formalisées modélisant le sens et la signification, que ce soit la signification de contenus, documents, pensées, expressions linguistiques, etc. Le principe est que la syntaxe formelle à la base de ces inscriptions contrôle et détermine la signification associée. Cette syntaxe possède donc une sémantique formelle.

Les inscriptions documentaires correspondent aux contenus mis en forme, produits, consultés et transmis à l’aide des documents. Les documents numériques reposent sur une numérisation du contenu où les unités numériques manipulées techniquement sont dans un rapport arbitraire avec les unités de sens interprétées par un lecteur. Par exemple :

  • une image est faite de pixels manipulés techniquement, notamment via l’encodage de l’image et les outils de traitement associés ;
  • une image est vue et comprise en termes de formes visuelles ou graphiques.
  • les formes visuelles interprétées n’ont pas d’existence technique dans le document : on ne sait pas manipuler tous les pixels composant un présentateur de télévision, et rien que ceux-là. C’est la raison pour laquelle de nombreuses recherches portent sur la reconnaissance automatique de certaines configurations signifiantes (ici, les pixels composant le présentateur), l’objectif étant de rendre manipulable techniquement ce qui est pertinent sémantiquement.

L’intérêt des inscriptions formelles est de pouvoir déléguer à la machine des traitements reposant sur la sémantique des contenus manipulés ; l’inconvénient est de contraindre cette sémantique et de la réduire aux capacités expressives et calculatoires des formalismes.

L’intérêt des inscriptions documentaires est de pouvoir exprimer n’importe quel type de contenu et de signification associée, car la forme technique reflète l’apparence et non le sens du document. L’inconvénient est de ne pouvoir introduire simplement de l’« intelligence » dans les traitements effectués.

Théorie du support

Du support numérique à la raison computationnelle prolégomènes et critique

L’ingénierie des connaissances comme projet implique une recherche croisant une réflexion sur la connaissance et une étude des artefacts permettant de l’inscrire et de la manipuler. Prise au sérieux, l’ingénierie des connaissances doit reposer sur une théorie de la connaissance d’une part et une ingénierie des représentations d’autre part.
Nous proposons une théorie de la connaissance, la théorie du support, selon laquelle toute connaissance procède d’une inscription matérielle dont elle est l’interprétation. L’idée principale est que la structure matérielle du support d’inscription conditionne l’interprétation de cette dernière et le contenu de la connaissance qu’on peut y reconnaître.
Puisque les supports d’inscription, ou //mediums//, sont des supports élaborés par la technique humaine, ils possèdent une histoire et leur évolution entraîne des révolutions dans les types de connaissances dont ces médiums sont à la fois l’inscription et la condition. C’est ce que les historiens nous ont appris à déceler dans le passage par exemple du //volumen// au //codex// ou encore lors de l’apparition de l’écriture ou de l’imprimerie.

Deux aspects privilégiés de la théorie du support nous intéressent particulièrement :

  • Le type de connaissance que les supports d’inscription suscitent ou inscrivent quand ils sont numériques ;
  • Le rôle que peuvent jouer les supports numériques dans la transmission des connaissances et leur relation à la mémoire.

Support et connaissance

Selon notre hypothèse, le type matériel du support d’inscription et les propriétés de transformation et manipulation qui le caractérisent sont corrélés à un type particulier de rationalité et de manière de penser. A l’instar de la raison graphique proposée naguère par Jack Goody pour caractériser les conséquences cognitives de l’écriture, nous proposons la notion de raison computationnelle pour caractériser le mode de penser qui serait associé aux inscriptions numériques.

La raison computationnelle repose sur ce que le calcul apporte aux inscriptions et aux connaissances associées. De même que la raison graphique a permis l’émergence de structures conceptuelles et cognitives particulières comme la liste, le tableau, la formule ainsi que le schéma, on peut postuler que la raison computationnelle repose sur les structures de programme, réseau, couche et maquette numérique.

Mais la raison computationnelle reste une notion abstraite alors que notre expérience du calcul s’effectue à travers une ingénierie des systèmes informatiques qui implémentent ces calculs et des interfaces à travers lesquelles nous donnons un sens à ces calculs et aux entités manipulées. C’est pourquoi nous complétons la raison computationnelle par une phénoménologie du numérique qui porte sur l’expérience que nous avons du calcul. Cette phénoménologie nous intéresse particulièrement par les conséquences qu’entrainent deux aspects majeurs de la révolution numériques :

  • la massification des bases de données et de connaissances
  • la complexification des traitements opérés.

Nous nous intéressons donc particulièrement, à travers nos recherches sur l’indexation des grandes bases de données, notamment audiovisuelles, que ce que nous pouvons connaître de ces données et ce que nous pouvons connaître à travers ces données et documents.

Support et mémoire

Les supports d’inscription sont l’outil privilégié pour transmettre des contenus à travers le temps et permettre la gestion des connaissances dans la durée. Plusieurs phénomènes doivent être considérés :

  • la transmission des supports, en prenant en compte leur intégrité matérielle, leur authenticité, et leur fiabilité ;
  • la tradition de l’interprétation, qui permet l’intelligibilité du contenu dans le temps.
    Ces deux aspects sont essentiels et complémentaires : pas de transmission efficace dans tradition de lecture, pas de tradition sans transmission.
    Dans le contexte du numérique, ces dernières années ont vu apparaître des travaux sur la préservation numérique portant essentiellement sur la transmission des supports, l’intelligibilité des contenus étant souvent ignorée.

Notre approche est de concilier ces deux aspects en articulant la tradition d’intelligibilité des contenus et la transmission des supports d’inscription. Nous avons donc élaboré une théorie de la mémoire et du rôle des supports pour mieux comprendre l’importance du numérique que nous mobilisons à titre expérimental dans la préservation culturelle numérique.


Responsable :

  • HE 03 : Logiques, histoire et formalismes (16 CM, 36 TD, semestrielle)
  • CST 01 : séminaire d’épistémologie de l’école doctorale, sur une semaine
    • cours le matin sur des aspects de l’épistémologie (histoire des sciences, philosophie des sciences, philosophie de la technique, innovation, interdisciplinarité) ;
    • rencontre avec des chercheurs chaque après-midi.

Participant :

  • IA 02 : responsabilité d’un TP (36h) et d’un TD (36h) au semestre de printemps.

 


Responsable de la formation doctorale pour Costech, avec Serge Bouchardon


Accès Web :

Parcours professionnel

Formation

  • 2004 : Habilitation à diriger les recherches, université de technologie de Compiègne
  • 1996 : docteur en épistémologie de l’Ecole polytechnique
  • 1990 : docteur en informatique de l’université Pierre et Marie Curie (Sorbonne université)
  • 1986 : DEA Intelligence Artificielle, Reconnaissance des Formes et Applications (IARFA), université Pierre et Marie Curie (Sorbonne université)
  • 1982 — 1985 : ingénieur civil des Mines de Nancy
  • 1980 — 1982 : Classes préparatoires, Lycée privé Sainte-Geneviève, Versailles.

Livres

  • Bachimont, B. (2017). Patrimoine et numérique : Technique et politique de la mémoire. Bry sur marne: Ina-Editions.
  •    
  • Bachimont, B. (2010). Le sens de la technique : le numérique et le calcul. Paris: Encres Marines / Les Belles Lettres.
  • Bachimont, B. (2007). Ingénierie des connaissances et des contenus : le numérique entre ontologies et documents. Paris: Hermès.
  • Bachimont, B. (1994). Le contrôle dans les systèmes à base de connaissances. Contribution à l’épistémologie de l’intelligence artificielle (Seconde édition revue et augmentée ed.). Paris: Hermès.

Revues

  • Bachimont, B. (2024‑A paraître). Altérités de l’esprit : les dynamiques de l’extériorisation. Lo Sguardo, XXXVI(Exteriorization. Actuality and history of a theoretical paradigm, Clarizio, Emmanuele & Feyles, Martino (eds)).
  • Bachimont, B. (2023). Manifeste pour l’intelligibilité du numérique. Manifeste pour l’intelligibilité du numérique. doi:https://doi.org/10.34745/numerev_1922
  • Bachimont, B. (2022). Théorie, Modèle, calcul et variabilité du réel. Revue Intelligibilité du numérique, 2022(3). doi:https://doi.org/10.34745
  • Bachimont, B. (2022). Une décision calculée peut-elle tenir lieu de jugement ? Considérations sur la faculté de juger et son instrumentation. Questions de communication, 41, 269–280. doi:https://doi.org/10.4000/questionsdecommunication.28169
  • Bachimont, B. (2022). Donner du sens aux données : les ruses du numérique ; Les disciplines du document face à la métis du calcul. Interfaces numériques, 11(2). doi:https://doi.org/10.25965/interfaces-numeriques.4838
  • Bachimont, B., & Verlaet, L. (2021). Traces, données et preuves en contexte numérique : quelles acceptions interdisciplinaires ? . Revue Intelligibilité du numérique, 2021(2), En ligne. doi:https://doi.org/10.34745/numerev_1712
  • Bachimont, B. (2021). La complexité herméneutique à l’épreuve du calcul. Interfaces numériques, 10(3). doi:https://doi.org/10.25965/interfaces-numeriques.4686
  • Bachimont, B. (2021). Archive et mémoire : le numérique et les mnémophores. Signata — Annales des sémiotiques, Numéro spécial : Sémiotique de l’archive, Maria Giulia Dondero, Andreas Fickers, Gian Maria Tore, Matteo Treleani (eds)(12), 1–19. doi:https://doi.org/10.4000/signata.2980
  • Bachimont, B. (2020). L’interdisciplinarité comme pratique disciplinaire. Revue Intelligibilité du Numérique, 2020(1). doi: https://doi.org/10.34745/numerev_1685
  • Bachimont, B. (2020). L’IA, le brin d’herbe, la caresse et le regard. Interfaces numériques, 9(1).
  • Bachimont, B. (2020). De l’intelligibilité du calcul : vers une épistémologie et une pragmatique de la donnée. Philosophique, Hors-série (Rencontre autour de Bruno Bachimont : la technologie nous fait-elle savoir et penser autrement ?), 13–32.
  • Bachimont, B. (2018). La politesse du numérique : entre normes et désajustements. Carte Semiotiche 6(Issue Forme semiotiche dell’espressione politica), 163–177.

Chapitres

  • Bachimont, B. (2024‑A paraître). Le numérique et l’éthique : encapaciter les agents et prendre soins des systèmes. In M.-H. Abel, N. Matta, & I. Saad (Eds.), Ethique et transitions numériques. Paris, Londres: ISTE.
  • Bachimont, B. (2024 — A paraître). Quand lire c’est faire : le supplément diagrammatique. In L. Dahan-Gaida & F. Ferri (Eds.), Forme et diagramme. Paris: Spartacus.
  • Bachimont, B. (2023). Le paradigme du code : amnésie de la trace et arbitraire de l’interprétation. In V. Charolles & E. Lamy-Rested (Eds.), Philosophie des technologies : un levier pour l’action (pp. 53–62). Londres: ISTE.
  • Bachimont, B. (2020). Formes, concepts, matières : quels place et rôle pour le numérique et la technique. In V. Philizot & J. Saint-Loubert Bié (Eds.), Technique & design graphique : Outils, médias, savoirs (pp. 204–229). Strasbourg: B42.
  • Bachimont, B. (2020). Separating bodies, synchronising minds: the role of digital technology in mediating distance. IMG Journal, 03(Remediating Distances).
  • Bachimont, B. (2019). Le numérique entre appropriation et altérité : pour une herméneutique de l’opacité. In P. Basso Fossali & O. Guern (Eds.), L’appropriation : L’interprétation de l’altérité et l’inscription du soi (pp. 45–61). Paris: Lambert-Lucas.
  • Bachimont, B. (2019). Indexation et grammatisation. In E. Cavalié (Ed.), Où en est-on de l’indexation matière ? (pp. 9–23). Paris: Cercle de la librairie.
  • Bachimont, B. (2019). Le signe et son autre : comment le numérique peut-il faire signe au sens ? In A. Biglari (Ed.), La sémiotique et on autre (pp. 297–315). Paris: Kimé.
  • Bachimont, B. (2018). Between Data and Formats: when Communication becomes Recording. In A. Romele & E. Terrone (Eds.), Towards a Philosophy of Digital Media (pp. 13–30): Palgrave Macmillan.
  • Bachimont, B. (2018). Formats: transparence manipulatoire et opacité interprétative ; la question du sens dans les dispositifs techniques. In E. Mitropoulo & N. Pignier (Eds.), Le sens au coeur des dispositifs et des environnements (pp. 189–221). Saint-Denis: Connaissances et savoirs.

Conférences invitées :

  • Colloque RESPADON : Le Web source et archive, 5 février 2023 ; Keynote sur « Le noème du Web : quel régime d’objectivité et de connaissance ? »
  • Keynote au colloque « L’artisan et l’utilisateur. Penser l’apprentissage (des) technique(s) dans l’éducation », 21–22 octobre 2022, Université Libre de Bruxelle : « Numérique et littératie : rôles et postures pour une culture du numérique ».
  • Bachimont, B., (2019) : Les humanités du numérique : de l’épistémologie à la culture, Conférence invitée H2PTM’19 De l’hypertexte aux humanités numériques, Montbéliard, 9 octobre 2019.
  • Bachimont, B. (2019) : Archives numériques, contenus non-textuels : comment garder la possibilité de l’authenticité et de l’herméneutique ? Colloque international PLIDAM – axe 6 : SemioMed — Juin 2019 : Le corpus audiovisuel : quelles approches ? quels usages ? Inalco, Paris, 11 juin 2019

Séminaires invités

  • Bachimont, B (2023) : « Le schématisme comme suspens de l’action. Quelques réflexions sur une genèse phénoménologique et pragmatique du sens ». Séminaire international de sémiotique de Paris  ; Les espaces de la théorie : topologies et expériences de la pensée. Paris 24 mai 2023.
  • Bachimont, B (2023) : L’IA, encore machine à inventer / l’IA une machine encore à inventer. Séminaire Mavinum – Laboratoire LERASS, Montpellier, 27 janvier 2023.
  • Bachimont, B (2022) : « Peut on gouverner la dynamique numérique ? Analyse et enjeux ». Journée d’étude le de la chaire Godo (Gouverner l’organisation numérique) de l’université de Nanterre (Pf Eric Pezet) sur le thème « Gouverner le numérique, Gouverner par le numérique, les enjeux du smart working ». Nanterre, 17 mars 2022.
  • Bachimont, B (2022) : Humains, Machines, Algorithmes : comment l’éthique peut-elle se composer avec le calcul ? EEE Ethique : chapitre français de l’IEEE – DMC (systems, Man and Cybernetics society). Paris ,  28 avril 2022.
  • Bachimont, B (2022) : Présentisme des données et contenus culturels. Séminaire du laboratoire Elico (université de Lyon) : Le temps de la donnée. Lyon, 20 mai 2022.
  • Bachimont, B (2022) : Rythme du geste, temps du calcul : la gestualité numérique, un impératif catégorique pour le design éthique ?. Journée d’étude sur le Geste, Séminaire Costech (Equipe EPIN) Compiègne, 9 juin 2022.
  • Bachimont, B (2021) : « Vers une épistémologie de l’archive audiovisuelle à l’ère du numérique, ou comment concilier manipulation technique et interprétation sémiotique (ou l’inverse) ». Séminaire de l’université de Liége en Sémiotique, Liège, 21 septembre 2021.
  • Bachimont, B (2021).Ecriture et code, motivation du sens et arbitraire du calcul, Séminaire ESAD :  Le champ du signe, Ecrire l’intelligence artificielle ; Amiens, 20 avril 2021.
  • Bachimont, B (2021) : Codification et technologies de la trace : prendre soin des données, Séminaire du LERASS, Montpellier, 12 février 2021.
  • Bachimont, B (2020) : Rhétorique de l’intelligibilité : pour des humanités du numérique. Journée d’étude Numerev, Montpellier, 28 février 2020
  • Bachimont, B. (2019) : Les humanités du numérique : de l’épistémologie à la culture. Séminaire du centre François Viète et rencontre du consortium 3D ‑SHS, Nantes, 3 décembre 2019.
  • Bachimont, B. (2019) : Les images des Big Data comme diagrammes imaginaires. Journée d’étude « Imagination, Imaginaire, Images des (Big) Data », institut catholique de Lille, Chaire Ethique & Transhumanisme, Lille, 24 janvier 2019.
  • Bachimont,B. (2019) : La matérialité et la signifiance du numérique, Séminaire X‑Aristote, L’hybridation de la matière avec le digital, Palaiseau Ecole Polytechnique, 13 juin 2019.
  • Bachimont, B. (2019) : Ce que le numérique fait au patrimoine, Journée SFR Numérique et patrimoine, Amiens, 3 octobre 2019.
  • Bachimont, B. (2018) : Building science on Data : Epistemological Questions for a Paradigm Shift, Soph’IA, université Côte d’Azur, Sophia-Antipolis, 7 novembre 2018.
  • Bachimont, B . (2018) : Calcul de l’interprétation, interprétation du calcul, journée d’études Herméneutique (du) numérique, université Paris-Est Créteil, 13 avril 2018.
  • Bachimont, B. (2018) : L’institution du sens : ce que fait le calcul à l’interprétation, séminaire international de sémiotique de Paris : l’invention (II) les tensions sémiotiques entre créativité et institution, Paris, Maison Suger, 14 mars 2018
  • Bachimont, B (2018) : Les Big Data où la nécessité de passer d’une épistémologie de la mesure à celle de la donnée, Séminaire CEVIPOF, Sciences Po, Paris, 12 mars 2018.
  • Bachimont, B (2018) : Les Big Data où la nécessité de passer d’une épistémologie de la mesure à celle de la donnée, Journée d‘étude CommonData &MSH Sud, « méthode, intégrité scientifique & données », MSH Sud, Montpellier, 16 février 2018.

Bruno Bachimont

Statut

Membres permanents

Équipe

EPIN

Discipline

Philosophie, Épistémologie, Sciences de l'information et de la communication, Informatique

Domaine de recherche

Ingénierie des connaissances (ontologies), sciences du document (formes médiatiques, archives, patrimoine), philosophie et épistémologie du numérique (théorie du support, sciences des données)

Contact

COSTECH - EA 2223
Université de technologie de Compiègne
CS 60319 - 57 avenue de Landshut
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